samedi

North Korea's Kim Jong Un threatens 'nuclear justice'

Where is North Korea in its nuclear test preparations?

Russia and USA relations are over ...

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NORTH KOREA REVEALS SECRET NUCLEAR WEAPON

2013 Trump is Against Everything That 2017 Trump Does

Vladimir Putin's warships approach English Channel as Royal Navy ships s...

North Korea's SHOW OF STRENGTH Astonishing first pictures of 'Day of th...

Military parade: North Korea surprises with display of new missiles

HAVASI — The Storm ft. Lisa Gerrard (Official Video)

Trump Supporters Winning Gold Medal In Mental Gymnastics Trying To Justi...

Kim Jong-un threatens to ‘annihilate US in ALL-OUT NUCLEAR WAR’ - DAILY ...

Vladimir Putin wades into North Korea nuclear weapons crisis and urges ‘...

the biggest lie in human history is ...

Trump is Pushing US Into Scripted and Pre-Planned World War III

Trump Won't Be Cancelling World War 3 After All #Stand Down Mr Trump

Pyongyang Parade: North Korea displays new ICBMs & submarine-based missiles

Ajoutée le 15 avr. 2017 Amid regional “military hysteria,” North Korea has marked the 105th birth anniversary of its founding leader Kim Il-sung with a military parade in Pyongyang, where it for the first time publicly showcased its submarine-launched ballistic missiles as well as what appears to be a new type of ICBM.

Russia, Syria and Iran as united front against USA

mercredi

BREAKING: RED ALERT! SUB HUNTERS SPOTTED FRANTICALLY SEARCHING NEAR US C...

Japanese warships join USS Navy on their way to Rumble with North Korea!

BREAKING ALERT! KIM JUST ORDERED THE EVACUATION OF THE CAPITAL CITY AS “...

EXCLUSIVE Russian Report: Tomahawk Leftovers EXAMINED at Syrian Shayrat ...

‘Blame it all on…’: What’s on Tillerson’s mind as he comes to Moscow?

CrossTalk: War-a-lago

US fail to impress Putin with ‘beauty of their weapons’ in Syrian strike...

Sergey Lavrov & Rex Tillerson start tough talks in Moscow, Russia amid i...

mardi

NORTH KOREA WARNS A NUCLEAR STRIKE IF ATTACKED & 'READY FOR WAR' ⚠

North Korea Ready for War!

BREAKING: NORTH KOREA JUST UNLEASHED THE HOUNDS OF WAR! THIS IS BAD!

RED ALERT! SECONDS AGO PUTIN CALLED OUT TRUMP WITH AN UNBELIEVABLE ACCUS...

BREAKING: IT’S HAPPENING! NORTH KOREA IS LOCKED AND LOADED! THEY JUST SE...

PUTIN JUST SNUBBED TRUMP!!! TILLERSON JUST GOT BAD NEWS AS HE’S HEADING ...

reflets: "Tomahawks sur la Syrie : Trump fait un cadeau inestimable à l’armée russe"

reflets: "Tomahawks sur la Syrie : Trump fait un cadeau inestimable à l’armée russe"

lundi

How The World Reacted To President Donald Trump's Air Strike On Syria | ...

Global reactions to U.S. strike on Syria

Israeli PM Netanyahu 'fully supports' US strike on Syria

Donald Trump's biggest fans desert him over Syria airstrikes

Putin Threatens US With Retaliation & Force Following Strikes On Syria

Fmr. Ambassador to China Baucus: Trump's actions were not wise

Iranian Foreign Minister Mohammad Javad Zarif has reiterated the Islamic Republic’s stance on the need for..


...the establishment of an international fact-finding committee to investigate the recent chemical attack in Syria. Zarif made the call during phone conversations on Monday with the European Union High Representative for Foreign Affairs and Security Policy Federica Mogherini, as well as his Russian, Omani, Syrian and Algerian counterparts, Sergei Lavrov, Yusuf bin Alawi, Walid al-Muallem and Mourad Medelci, respectively. The senior officials exchanged views about the terrible suspected chemical attack in the Syrian town of Khan Shaykhun in Idlib Province, which killed at least 86 people. Anti-Damascus militants and Western countries rushed to blame the Syrian government of President Bashar al-Assad for the incident without providing any evidence to support their accusations. Syria has categorically denied carrying out the gas attack, with the foreign minister stressing that an Idlib airstrike had targeted a depot, where terrorists stored chemical weapons. PressTV

Kissinger est la face obscure de Trump en Syrie


Partager la publication "Kissinger est la face obscure de Trump en Syrie" En se comportant de façon erratique, les dirigeants US parviennent à surprendre leurs rivaux, mais la tactique de « l’homme fou » de Kissinger ne viendra à bout ni de Da’esh ni de Assad. Je crois vraiment que nous aurions dû, et devrions encore démolir ses bases aériennes et l’empêcher de pouvoir s’en servir pour bombarder des gens innocents, et de larguer sur eux du gaz sarin. Voilà les mots de Hillary Clinton seulement quelques heures avant que sa Némésis, le Président Donald Trump, ordonne le lancement de 59 missiles Tomahawk sur la base aérienne de Shay’rat au sud-est de Homs, en Syrie. Escalade L’administration Trump a décrit les frappes comme étant « exceptionnelles » et insisté qu’il n’y avait pas de projet d’escalade. Mais une escalade s’est rapidement développée. La Russie, malgré qu’elle ait été avertie du bombardement par les USA, a suspendu un accord avec les USA pour éviter les incidents aériens dans le ciel de la Syrie. Le Ministre russe de la défense Sergueï Choïgou visite la base aérienne russe de Hmeimim dans la province syrienne de Lattaquia, en juin 2016 – Photo AFP Le Ministre russe de la défense Sergueï Choïgou visite la base aérienne russe de Hmeimim dans la province syrienne de Lattaquia, en juin 2016 – Photo AFP Les objectifs du gouvernement US avec cette frappe en Syrie peuvent être déduits du rôle en coulisses de l’un des diplomates les plus puissants de l’histoire: Henry Kissinger. L’ancien Secrétaire d’État, naguère accusé par le défunt Christopher Hitchens de complicité de « crimes de guerre » US en Amérique Latine et en Asie du Sud-Est, a été un conseiller essentiel de Trump dans la négociation des relations des USA avec la Russie et avec la Chine. Auparavant, Kissinger avait été secrètement consulté sur la sécurité nationale par le Président George W. Bush, et sous Obama il était directement impliqué dans la chaîne de commandement du Conseil de la Sécurité Nationale US. Il avait également fréquemment conseillé Hillary Clinton alors qu’elle était Secrétaire d’État. Son influence à l’intérieur de l’administration Trump est aussi visible à travers son ancien acolyte KT McFarland, qui est aujourd’hui vice-conseiller à la sécurité nationale et qui avait servi sous Kissinger pendant les années ’70 alors qu’il dirigeait le Conseil de la Sécurité Nationale. Le chaos comme stratégie? Les frappes aériennes en Syrie ont leur place dans la philosophie de « l’imprévisibilité » – ou la Théorie de l’Homme Fou – que Kissinger a longtemps plaidé être une marque distinctive des grands hommes d’état. L’approche de Kissinger veut que les administrations US évitent la prudence recommandée par les experts, en optant plutôt pour « la redéfinition constante des objectifs » et « la force de contempler le chaos ». En se comportant de façon erratique et même apparemment « irrationnelle », les dirigeants US parviennent à surprendre leurs adversaires et leurs rivaux et à les placer sur la défensive en permanence, redoutant la dangereuse volatilité de la puissance étasunienne. Trump, Tillerson, le Ministre du Commerce Wilbur Ross et le Ministre de la Défense James Mattis lors d’une réunion cette semaine avec le Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, à Washington, DC – Photo AFP Trump, Tillerson, le Ministre du Commerce Wilbur Ross et le Ministre de la Défense James Mattis lors d’une réunion cette semaine avec le Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, à Washington, DC – Photo AFP C’est pourquoi le Secrétaire d’État de Trump Rex Tillerson a pu changer de discours, en affirmant d’abord que « des procédures sont en route » pour retirer Bachar al-Assad du pouvoir et pour insister désormais que les USA ne projettent pas davantage d’actions. « Je n’essayerais nullement d’en extrapoler un changement dans notre politique ou dans notre attitude, en rapport avec nos activités militaires actuelles en Syrie, » a-t-il dit. La résultante semble être que: cette frappe était exceptionnelle et conçue pour envoyer un message clair aux rivaux des USA, comme quoi les USA sont capables et prêts à déployer la puissance militaire, sans en craindre des conséquences. Et que les anciens engagements pris envers Assad ne constituent pas une garantie. Entretenir le chaudron L’objectif plus profond est de déblayer le passage, afin que l’administration Trump puisse continuer de poursuivre ses ambitions stratégiques en Syrie. Ces ambitions peuvent être glanées de la pensée de ses plus proches conseillers. Avant de démissionner en disgrâce face à des allégations de malhonnêteté suite à son contact avec l’Ambassadeur russe, le Conseiller à la Sécurité Nationale Michael Flynn venait de co-écrire un livre, The Field of Fight (Le Champ du Combat, NdT), avec le consultant sur la défense néoconservateur, Michael Ledeen. L’importance de ce fait tient à ce que Ledeen avait directement été impliqué dans les contrefaçons sur le Yellowcake, visant à fabriquer une menace d’armes de destruction massives pouvant justifier la guerre d’Irak de 2003; qu’il a depuis longtemps fait campagne en faveur d’interventions militaires en Syrie; et qu’il a articulé une vision de politique étrangère qui avait eu beaucoup d’influence pendant l’administration de George W. Bush. La vision de Ledeen pour la région peut être résumée par son approbation pour la « création d’un chaudron » au Moyen-Orient en 2002, lorsqu’il écrivait en soutien à l’invasion de l’Irak: « on ne peut qu’espérer que nous fassions de la région un chaudron, et plus vite que ça s’il vous plaît. S’il y a jamais eu une région qui méritait abondamment d’être transformée en chaudron, c’est le Moyen-Orient aujourd’hui. » Ce genre de vision s’accorde avec la préférence de l’administration Trump pour le chaos, les retours en arrière et le changement perpétuel de priorités. Assurément, une bonne part de tout cela peut également être attribuée à une réelle confusion et à une incompétence accablante. Personne ne devrait le sous-estimer. Mais dans le même temps, nous sommes témoins d’une administration qui prend des décisions sur les bases d’idéologies concurrentes, dont l’une voit naïvement l’escalade du chaos dans des pays comme la Syrie comme une opportunité stratégique. Assad ne se fait pas renverser Cependant, il semblerait que le but stratégique des frappes ne soit pas, au bout du compte, d’entamer le renversement d’Assad. Les rebelles syriens – dont certains ont combattu aux côtés d’al-Qaeda, dont d’autres s’opposent avec véhémence à la fois à Da-esh et à al-Qaeda, et dont beaucoup veulent néanmoins remplacer le régime d’Assad avec leur propre forme d’état islamique – ont applaudi les frappes. Mais ils soulignent également et correctement que ne frapper qu’une seule base accomplit peu de choses, étant donné qu’Assad lance des frappes aériennes domestiques depuis au moins 26 bases aériennes. Des soldats israéliens inspectent un champ où sont tombées des roquettes tirées depuis la Syrie près de Kfar Szold au nord d’Israël, proche du Plateau du Golan et de la frontière libanaise, en août 2015 – Photo AFP Des soldats israéliens inspectent un champ où sont tombées des roquettes tirées depuis la Syrie près de Kfar Szold au nord d’Israël, proche du Plateau du Golan et de la frontière libanaise, en août 2015 – Photo AFP Un indice de ce qui est réellement en jeu provient de dialogues qui ont eu lieu entre Netanyahou et l’administration Trump au cours des semaines précédant les frappes. Pour Israël, la réelle « ligne rouge » en Syrie ne concerne pas les armes chimiques – elle concerne l’Iran et l’empiètement potentiel du Hezbollah, par le biais du régime d’Assad, sur la frontière israélo-syrienne au Plateau du Golan, ou à la frontière syro-jordanienne. Des sources familières avec ces dialogues ont dit à Ha’aretz que Netanyahou désire l’établissement de « zones-tampon » du côté syrien de la frontière. Le projet entendrait aussi que le Plateau du Golan soit de facto détaché de la Syrie, et occupé par Israël. Il se trouve que la filiale israélienne d’une entreprise énergétique US, Genie Oil & Gas, opère actuellement des forages pétroliers sur le plateau du Golan, avec une licence pourvue par le gouvernement Netanyahou. Parmi les membres détenteurs de parts du conseil d’administration de Genie se trouve Rupert Murdoch, qui entretient des liens étonnamment intimes avec la famille Trump, son empire commercial, et son administration. Jouer avec le feu Cette vision ne voit pas le renversement d’Assad comme la solution, mais cherche seulement à limiter son pouvoir territorial à une petite enclave concentrée autour de Damas, et en outre à rompre l’importance du soutien russe et iranien à son régime. Simultanément, le régime Trump veut se servir des frappes syriennes comme un premier pas dans une stratégie visant à enfoncer un coin entre la Russie et l’Iran. En offrant la Crimée à la Russie sur un théâtre, le gouvernement Trump désire convaincre la Russie sur un autre de reculer sur son alliance avec l’Iran et la Syrie, laissant aux USA un champ plus libre pour imposer une solution diplomatique en accord avec ses propres objectifs géopolitiques douteux dans la région. Quoi qu’il en soit, le résultat final de tout ceci est d’entretenir une situation d’instabilité permanente en Syrie, où aucune faction particulière ne l’emporte: simultanément, les USA tolèrent Assad mais le menacent de changement de régime, en le visant de façon sélective mais sans entreprendre d’action qui le renverse pour de bon; permettent à leurs alliés du Golfe de continuer à soutenir les rebelles syriens de leur choix, depuis des groupes laïcs aux militants islamistes dont certains sont liés à Da’esh et à al-Qaeda; et mènent des frappes aériennes contre Da’esh. Les actions des USA jusqu’à maintenant ne vaincront ni Da’esh ni Assad. À la place, elles vont prolonger la guerre tout en essayant de la contenir: une approche vouée à se défaire elle-même. Le problème est que la tactique kissingerienne de « jouer avec le feu » pour obtenir ce que vous voulez ne fonctionne pas. Au contraire, elle tend à faire que les choses échappent à tout contrôle. Nafeez Ahmed Source: http://www.middleeasteye.net/columns/trumps-syria-strike-inspired-dangerous-vision-cauldronising-middle-east-2138445408 Traduit par Lawrence Desforges

Frappes US : Les missiles Tomahawk auraient bel et bien été interceptés


(vidéo) Réseau International Partager la publication "Frappes US : Les missiles Tomahawk auraient bel et bien été interceptés " 34 des 59 missiles Tomahawk interceptés Depuis le tir de 59 missiles Tomahawk vendredi contre un aérodrome de Homs, une question ne cesse de revenir dans toutes les analyses : 23 des 59 missiles de croisière US ont atteint leur cible. Et le reste des engins ? Qu’est-il advenu de 34 autres Tomahawk tirés depuis deux navires de guerre US déployés en Méditerranée ? La réponse, c’est cette vidéo diffusée ce samedi par Al-Alam qui pourrait l’apporter : la DCA syrienne a intercepté et détruit les 34 missiles Tomahawk avant qu’ils n’atteignent la base aérienne de Shayrat. L’information souligne le décret de la présidence syrienne pour l’interception et la destruction en vol des missiles américains à la minute où l’attaque a commencé. D’autres analystes relèvent le rôle des radars russes qui seraient immédiatement entrés en fonction, après le tir du premier missile. S’agit-il de S-300 syriens ou de S-400 russes déployés en Syrie ? Pourquoi avoir caché cette « riposte cinglante » et n’en parler que deux jours après l’attaque ? La vidéo publiée par les sources militaires syriennes prouve une chose : si la Syrie et son allié russe ont évité de la publier dans les heures suivant les frappes US, c’était pour éviter une escalade. Mais au regard de la campagne intense de menace contre la Syrie et la Russie, il n’existerait peut-être plus aucune raison pour dévoiler « les faiblesses des missiles US » et « la puissance de la DCA syrienne ». Les États-Unis ont annoncé ce dimanche par la voix du porte-parole de la Maison-Blanche, Sean Spicer, n’avoir pas averti au préalable la Russie de l’attaque qu’ils allaient lancer contre le territoire syrien. Interrogé par Fox News, le porte-parole a affirmé que « nous n’avons eu aucun contact avec les dirigeants politiques russes », ce qui revient à dire que les États-Unis ont effectivement voulu « prendre de court » les Russes. Mais la surprise semble ne pas « avoir trop bien fonctionné » ! Les analystes affirment encore que la Russie, dont les navires de guerre viennent de regagner la Méditerranée, a fait preuve de retenue pour éviter « une guerre balistique » qui aurait pu déboucher sur un « conflit nucléaire ».

Bombardement américain en Syrie : communiqué russo-syro-iranien


Réseau International Bombardement américain en Syrie : communiqué russo-syro-iranien Partager la publication "Bombardement américain en Syrie : communiqué russo-syro-iranien" Le ton monte entre d’un côté, le gouvernement américain et ses alliés et de l’autre, la Russie et ses alliés, suite à l’agression américaine d’une base militaire syrienne ce vendredi 7 avril. D’intenses réunions diplomatiques au plus haut niveau se sont déroulées depuis 48 heures, mettant les nerfs des négociateurs à vive épreuve, car les deux positions semblent inconciliables ; les Etats-Unis souhaitent visiblement continuer à agir en dehors du cadre du droit international. Hier samedi, la coalition militaire dirigée par les Etats-Unis a procédé à un bombardement à Raqqa, dans le nord de la Syrie. Suite à ce raid aérien, qui a provoqué la mort de 20 personnes, dont plusieurs enfants, la Russie aurait décidé de fermer l’espace aérien syrien aux avions de la coalition américaine. Pour mémoire, suite au bombardement de la base militaire syrienne, les Russes avaient déjà annoncé vendredi qu’ils interrompaient leur coopération avec les Américains dans leur lutte contre DAECH, et qu’ils ne communiquaient plus leurs plans de vol à l’armée américaine. La situation reste très tendue au niveau international. Xi Jinping, le président chinois, était ce jeudi en Floride pour tenter de trouver un terrain d’entente avec Donald Trump sur le dossier nord-coréen. Chose rare, les deux présidents n’ont même pas tenu de conférence de presse commune à l’issue de cette rencontre. Cette nuit, un porte-avion américain et sa flotte ont pris la direction de la péninsule coréenne. Dans ce contexte, nous relayons ici les principaux points du communiqué de presse russo-syro-iranien, diffusés sur la chaîne Al Mayadeen TV. Raphaël Berland *** Le centre des opérations russo-irano-syrien et le Hezbollah ont publié un communiqué en réponse à l’attaque américaine de la base aérienne syrienne. En voici les principaux points : 1. Nous riposterons par la force à toute nouvelle agression de la Syrie, et advienne ce qu’il advienne. 2. La Russie et l’Iran ne permettront jamais aux Etats-Unis de dominer le monde et imposer un monde unipolaire. 3. Nous ne permettrons pas la poursuite de l’agression de la Syrie en violation des lois internationales, en dehors de l’ONU. 4. Nous serons aux côtés des forces syriennes pour libérer toute la Syrie de toute occupation quelle qu’elle soit. 5. Les Etats-Unis connaissent nos capacités à répondre. Désormais nous répondrons fermement à toute agression car la ligne rouge est franchie. 6. Ils doivent savoir que nous surveillons attentivement toutes les manœuvres et mouvements américains pour diviser la Syrie et l’Irak. Toute présence militaire américaine dans ces deux pays est illégale. Source : Al-Mayadeen TV Traduction : Farid Laid Seraghni

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